Arecibo, la vie était belle
C’était peut-être le télescope le plus célèbre au monde, non seulement pour ses apparitions dans James Bond ou dans le film Contact mais parce qu’il restait, jusqu’à récemment, le plus grand radiotélescope de la planète. , avec son dôme de 300 mètres de diamètre. Pourtant, elle était en mauvais état depuis quelques années, après le passage d’un ouragan en 2017 et depuis cet été a été la chaîne fatale: un câble lâche en août, un deuxième en novembre et le 1er décembre, la plate-forme s’est effondrée, éteignant une fois le télescope. pour tous. Aujourd’hui, nous vous raconterons ses 57 ans d’histoire.
Arecibo a été une belle vie, c’est le programme légendaire qui est à nous pour l’heure à venir, bienvenue dans la Méthode Scientifique.
Et pour raconter l’histoire de ce télescope géant, de sa construction aux découvertes qu’il a faites, nous sommes ravis d’accueillir aujourd’hui Gilles Theureau, astronome à l’observatoire de Paris, chercheur au laboratoire de physique et chimie de l’environnement et de l’espace d’Orléans et Steve Torchinsky, ingénieur de recherche à l’Observatoire de Paris, chercheur au laboratoire Astroparticules et Cosmologie de l’Université de Paris.
Rapport du jour
Entretien avec Grégory Desvignes, chercheur postdoctoral à l’Observatoire de Paris. Comment les données collectées par le radiotélescope Arecibo peuvent-elles contribuer à une découverte récente concernant les pôles magnétiques d’un pulsar? Par Antoine Beauchamp:
Base documentaire
Trouver le threads de ce programme sur Flux Twitter Méthode scientifique.
Les images impressionnantes de l’effondrement du télescope Arecibo (Sciences et Avenir, 2020)
Vidéo de l’effondrement du radiotélescope Arecibo (Médias MDx, 2020)
10 des meilleurs résultats d’Arecibo (Nouvelles scientifiques, 2020)
Radiotélescope Arecibo: “Nous avons adoré” disent les astrophysiciens (Sciences et Avenir, 2020)
Une comète a flashé à 82 000 km / h depuis le radar d’Arecibo! (Science et vie, 2017)
Références musicales
Le titre du jour: “Mirror” de Loya bay
Le générique d’ouverture: “Music to watch space girls by” de Leonard Nimoy
Crédits: “Says” de Nils Frahm