Science
Ondes gravitationnelles, Covid-19 et mastodontes: l’actualité
Fondamentalement: L’onde gravitationnelle GW190521 révèle de nouvelles populations de trous noirs.
- L’onde gravitationnelle du 21 mai 2019, GW190521, a révélé des populations de trous noirs de masse inhabituelle.
- Et surtout, cela confirme directement pour la première fois l’existence de trous noirs de masse intermédiaire.
- C’est-à-dire que leur masse est comprise entre 100 et 1000 fois la masse du Soleil.
En bonne santé: un spray nasal contre Covid-19, un nouvel angle d’attaque contre l’épidémie.
- Une équipe française a découvert un mécanisme capable de capturer les particules virales dans l’organisme, évitant ainsi toute infection.
- Il peut développer un produit sous forme de spray nasal.
- Une innovation prometteuse, mais qui n’a pas encore été publiée dans une revue scientifique.
En paléontologie: face au réchauffement climatique, la migration des mastodontes.
- Les mastodontes étaient de grands mammifères qui constituaient une “mégafaune”, dont la plupart des représentants ont disparu il y a environ 11 000 ans.
- Ces animaux ont occupé une grande partie de l’Amérique du Nord, de l’Alaska au Mexique.
- Ils ont déménagé dans le nord de l’Amérique du Nord à plusieurs reprises dans leur passé, selon une enquête génétique.
En bonne santé: explosion à Beyrouth, effets sanitaires à plus ou moins long terme.
- Près d’un mois après les explosions qui ont frappé Beyrouth, le nombre de morts s’élève à plus de 180.
- Entre traumatisme physique et psychologique et dangers chimiques, quelles sont les conséquences à plus ou moins long terme d’une telle catastrophe?
- Le professeur Charbel Afif craint que l’inventaire exact des produits stockés dans le port de la capitale ne soit connu. Le scientifique de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth s’interroge notamment sur l’exposition à l’amiante évaporé dans l’atmosphère par l’explosion.
Dans la nature : Lafarge l’a accusé de rejeter délibérément les eaux usées de son usine parisienne en Seine.
- Selon les informations révélées par Europe 1, le cimentier français Lafarge rejette volontairement les eaux usées de l’une de ses usines situées le long du fleuve dans la Seine.
- Dans ces eaux, un mélange de particules de ciment, de liquides de traitement et de microfibres plastiques.
- “C’est un vrai scandale écologique”, a ému la maire de Paris Anne Hidalgo.